Taxation crypto Portugal : ce qu'il faut savoir en 2025

Quand on parle de taxation crypto Portugal, le cadre fiscal qui rend le Portugal l’une des destinations les plus attractives pour les détenteurs de cryptomonnaies en Europe. Also known as fiscalité crypto Portugal, it is not about zero taxes — it’s about smart, targeted rules that leave most personal crypto gains untouched. Contrairement à la France, à l’Allemagne ou aux États-Unis, le Portugal ne taxe pas les gains sur les cryptomonnaies pour les particuliers. Si vous achetez du Bitcoin, le stakiez, le vendez ou l’échangez contre un autre token, vous ne payez pas d’impôt sur les plus-values. C’est une exception rare — et elle a attiré des milliers d’expatriés, de travailleurs numériques et de traders du monde entier.

Mais attention : cette règle ne s’applique qu’aux particuliers. Si vous êtes une entreprise, ou si vous miniez ou faites du trading à titre professionnel, les choses changent. Le revenu professionnel, les gains générés par une activité récurrente, commerciale ou organisée. Also known as activité crypto professionnelle, it is subject to income tax at progressive rates up to 48%. Par exemple, si vous miniez du Bitcoin comme un métier, ou si vous faites des centaines d’opérations par mois avec des outils automatisés, l’administration fiscale peut vous classer comme trader professionnel. Et là, vous devez déclarer vos gains comme un salaire. Même chose si vous créez un fonds ou une société pour gérer vos actifs numériques. Le NIF, le numéro d’identification fiscale portugais requis pour toute transaction financière légale. Also known as numéro d’impôt Portugal, it is mandatory even if you’re a non-resident holding crypto. Sans NIF, vous ne pouvez pas ouvrir de compte sur une plateforme locale, ni déclarer quoi que ce soit — même si vous n’avez rien à payer.

Et les airdrops ? Les récompenses de staking ? En 2025, ils restent exonérés pour les particuliers — tant que vous ne les vendez pas immédiatement pour en faire un revenu récurrent. Mais si vous les convertissez en euros ou en autre crypto pour financer votre quotidien, vous entrez dans une zone grise. L’administration ne l’a pas encore précisée, mais les audits ont augmenté. Il vaut mieux garder une trace claire de vos transactions, même si la loi ne l’exige pas. Les banques portugaises ne demandent pas de preuve, mais l’Autorité des Impôts peut réclamer vos historiques si vous êtes sélectionné pour un contrôle. Et si vous êtes résident fiscal en France, en Belgique ou en Suisse, attention : votre pays d’origine peut toujours vous réclamer des impôts sur vos gains crypto, même si vous vivez au Portugal. La double imposition n’est pas automatique, mais la déclaration l’est.

Dans cette collection, vous trouverez des analyses claires sur ce qui est légal, ce qui est risqué, et ce que les autres pays font différemment. Vous verrez comment les expatriés américains doivent gérer leur déclaration FBAR malgré l’exonération portugaise, comment les traders professionnels évitent les pièges fiscaux, et pourquoi certains échanges comme Blocktrade ou Quidax sont préférables pour les résidents au Portugal. Rien de théorique. Juste ce que vous devez savoir pour ne pas payer plus que nécessaire — ou pire, se retrouver en infraction.

Le Portugal applique un impôt à 28 % sur les gains en crypto détenus moins d’un an, mais exonère totalement les actifs conservés plus longtemps. Découvrez comment déclarer, optimiser et comparer avec les autres pays européens.