Taxation crypto Nigeria : ce que vous devez savoir sur les impôts et les règles en 2025

La taxation crypto Nigeria, le cadre légal qui encadre l'imposition des gains et transactions en cryptomonnaies au Nigeria a complètement changé depuis 2023. Contrairement à ce que beaucoup pensent, les cryptomonnaies ne sont plus interdites — elles sont désormais régulées. La SEC Nigeria, la Commission des valeurs mobilières du Nigeria, chargée de superviser les actifs numériques a mis en place des règles claires pour les échanges, les impôts et la déclaration des gains. Si vous achetez, vendez ou échangez des crypto au Nigeria, vous êtes concerné.

Le principal changement ? Il n’y a plus de taxe directe sur les gains en crypto comme en France ou aux États-Unis. Mais attention : chaque transaction avec des nairas (NGN) peut être soumise à des retenues ou déclarée comme revenu. Les plateformes agréées comme Quidax, un échange crypto régulé au Nigeria, utilisé par des centaines de milliers d’utilisateurs pour acheter des BTC, ETH ou USDT avec des nairas et Busha, une autre plateforme locale, connue pour sa simplicité et son intégration avec les banques nigérianes, doivent collecter certaines informations. Cela ne veut pas dire qu’elles déclarent à l’État pour vous — c’est à vous de garder une trace de vos achats, ventes et échanges. Si vous vendez des crypto pour acheter un téléphone ou payer un loyer, c’est une transaction taxable. Si vous échangez Bitcoin contre Ethereum, c’est aussi une opération à déclarer.

Beaucoup de Nigérians pensent qu’ils peuvent éviter les impôts en utilisant des DEX ou des P2P. C’est faux. La SEC Nigeria suit les volumes, les flux de fonds et les signalements bancaires. Les transactions suspectes sont vérifiées, surtout si elles dépassent 500 000 nairas. Même si vous n’avez pas reçu de facture ou de reçu, vous êtes tenu de conserver vos historiques de wallet et vos captures d’écran. La meilleure stratégie ? Utilisez uniquement les plateformes agréées, gardez vos preuves, et ne confondez pas la liberté d’utiliser les crypto avec l’absence de responsabilité fiscale.

En 2025, le Nigeria est l’un des rares pays africains où les cryptomonnaies sont à la fois populaires et encadrées. Ce n’est pas un paradis fiscal — c’est un marché en pleine formalisation. Ce que vous trouverez ici, c’est une collection d’articles concrets : comment déclarer vos gains, quelles plateformes sont sûres, comment éviter les arnaques qui se cachent derrière des fausses règles fiscales, et pourquoi certains échanges comme Blocktane ou Koopal Dex sont à éviter à tout prix. Pas de théorie, pas de jargon. Juste ce que vous devez faire — et ce que vous devez éviter — pour rester légal et en sécurité.

En 2025, miner des cryptomonnaies au Nigeria est possible, mais sous des conditions strictes. Loi, fiscalité, banques et électricité créent un environnement hostile pour les mineurs non autorisés.