Interdiction crypto Algérie : ce qu'il faut vraiment savoir en 2025

Depuis 2021, l'Algérie a interdit les cryptomonnaies, une mesure prise par la Banque d'Algérie pour protéger le dinar et contrôler les flux financiers. Also known as interdiction totale des actifs numériques, cette règle interdit l'achat, la vente, l'échange et même le minage de crypto sur le territoire. Mais derrière cette loi, une réalité différente se développe en silence.

Les Algériens ne se sont pas arrêtés pour autant. Des milliers utilisent des plateformes P2P comme LocalBitcoins ou Paxful pour acheter du Bitcoin avec des transferts bancaires ou des cartes cadeaux. Les banques algériennes, interdites de traiter les transactions crypto, bloquent pourtant les paiements vers des plateformes étrangères. Also known as système bancaire fermé, elles ne peuvent pas empêcher les gens d'utiliser des services comme Revolut ou Wise pour contourner les restrictions. Même les autorités fiscales, qui n'ont aucun moyen de suivre les transactions en crypto. Also known as administration non préparée au Web3, n'ont pas encore mis en place de système de déclaration pour les détenteurs d'actifs numériques. L'interdiction est théorique, mais la pratique est partout : dans les universités, les marchés locaux, les groupes WhatsApp.

En 2025, cette situation ne peut plus durer. Les jeunes Algériens, connectés et désireux d'accéder à des opportunités financières mondiales, ne vont pas attendre que l'État change d'avis. Certains prédisent que l'Algérie devra légaliser les crypto pour contrôler ce qu'elle ne peut plus empêcher. D'autres pensent que la pression internationale, avec des pays voisins comme le Maroc ou la Tunisie qui avancent, forcera une réforme. Ce que vous trouverez ici, c'est une collection de guides réels, d'analyses et d'avertissements sur ce qui se passe vraiment en Algérie — pas ce que disent les décrets, mais ce que font les gens.

L'Algérie a interdit complètement les crypto-monnaies en juillet 2025, avec des peines de prison et d'amendes lourdes. Toute activité liée aux actifs numériques est désormais criminelle, même la simple possession ou la promotion en ligne.