Crypto interdite : Les projets piégés à éviter en 2025
Quand on parle de crypto interdite, des projets cryptos sans régulation, sans équipe vérifiable, ou activement bannis par les autorités. Also known as arnaques crypto, it includes tokens with no real use, exchanges that vanish overnight, and airdrops that don’t exist. Ce n’est pas juste une question de risque — c’est une question de survie financière. En 2025, les autorités comme la SEC, la FCA ou l’AMF ont intensifié leurs sanctions. Les plateformes comme Uzyth Crypto Exchange, une fausse plateforme sans licence, aucun avis client et aucune trace légale, ou BHEX, un échange abandonné depuis 2023 qui a disparu sans laisser de trace, sont des exemples concrets de ce qu’il faut éviter. Ces projets ne sont pas mal gérés — ils sont conçus pour disparaître avec votre argent.
Les rug pulls, des arnaques où les créateurs retirent soudainement la liquidité d’un jeton pour s’enfuir avec les fonds sont de plus en plus sophistiqués. Ils utilisent des noms qui ressemblent à des projets légitimes — comme Hachi On Base, un nom utilisé pour tromper les investisseurs alors qu’aucun projet officiel n’existe — ou des logos qui imitent ceux de Binance ou Coinbase. Les airdrops sont devenus des pièges : RBT, un jeton affiché sur CoinMarketCap avec un prix de 0 $ et aucun volume, ou CoinW Token (CWT), un airdrop qui n’existe pas, sont des signaux rouges clairs. Personne ne vous envoie de l’argent gratuit en échange de votre clé privée. Si un site vous demande de connecter votre portefeuille pour « réclamer » un airdrop, c’est une arnaque. Les projets comme XDoge Network (XDOGE), un token sans site, sans équipe, et répliqué sur plusieurs blockchains sans lien avec Dogecoin ne sont pas des investissements — ce sont des loteries sans tirage.
La crypto interdite ne se limite pas aux plateformes inconnues. Elle inclut aussi les projets qui prétendent être innovants mais n’ont aucun fondement technique, comme FOTA, un jeton abandonné depuis 2022 avec une communauté morte, ou 5DAX, un échange bloqué par Malwarebytes et sans aucun utilisateur vérifiable. Ces projets ne sont pas malchanceux — ils sont conçus pour exploiter la naïveté. Ce que vous trouverez ici, ce ne sont pas des avis généraux. Ce sont des enquêtes concrètes, basées sur des faits, sur les cryptos qui ont été abandonnées, interdites, ou démasquées comme des arnaques. Vous saurez exactement quels noms éviter, quelles plateformes ne jamais utiliser, et comment reconnaître les signes avant-coureurs avant de cliquer sur « Investir ».
Publié le mai 2
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Malgré une interdiction officielle depuis 2017, les Marocains utilisent massivement la cryptomonnaie pour envoyer de l’argent à l’étranger. Plus rapide, moins chère, et plus accessible que les banques, elle devient un pilier des paiements internationaux.