Crypto illégal Bangladesh : Ce que vous devez savoir sur les restrictions et les risques

Le crypto illégal Bangladesh, la possession ou le trading de cryptomonnaies sans autorisation officielle dans le pays. Aussi appelé interdiction des cryptomonnaies au Bangladesh, cette situation force les utilisateurs à choisir entre accès au marché mondial et risque de poursuites pénales. En 2025, la Banque centrale du Bangladesh interdit formellement toute transaction en Bitcoin, Ethereum ou tout autre actif numérique non contrôlé par l’État. Même posséder des cryptos sur un portefeuille personnel peut être considéré comme une infraction, surtout si des transferts sont détectés via les banques.

Les échanges P2P, les transactions directes entre particuliers sans intermédiaire. Aussi appelé peer-to-peer crypto, ils sont devenus la seule voie pour beaucoup de Bangladais qui veulent acheter du Bitcoin ou envoyer de l’argent à l’étranger. Mais ces plateformes sont surveillées. Les fournisseurs de services comme LocalBitcoins ou Paxful ont cessé leurs opérations locales. Les traders utilisent maintenant des applications de messagerie comme Telegram ou WhatsApp pour organiser des échanges en espèces — souvent dans des parkings ou des cafés. Le risque ? Des arrestations, des amendes, ou même des peines de prison pour trafic de devises. Des cas ont été rapportés où des étudiants ont été arrêtés pour avoir acheté des cryptos pour payer des cours en ligne.

Les stablecoins, des cryptomonnaies liées à des devises stables comme le dollar américain. Aussi appelé USDT, USDC, ils sont les plus utilisés dans les transactions clandestines au Bangladesh. Pourquoi ? Parce qu’ils permettent de contourner les restrictions bancaires tout en gardant une valeur proche du dollar. Mais la Banque centrale a commencé à bloquer les adresses liées à Tether et à Circle. Les comptes bancaires sont gelés, les cartes de crédit refusent les paiements vers des portefeuilles crypto, et les fournisseurs d’internet sont parfois obligés de couper l’accès aux sites d’échange. Même les personnes qui n’ont jamais vendu de cryptos peuvent être ciblées si elles ont reçu des fonds d’un portefeuille suspect.

Le crypto illégal Bangladesh n’est pas une question de technologie. C’est une question de pouvoir. L’État veut contrôler chaque rupi qui circule. Les cryptos représentent une menace pour sa capacité à surveiller les flux financiers. Résultat ? Une guerre silencieuse entre les citoyens qui veulent de la liberté financière et un système qui refuse tout ce qu’il ne peut pas encadrer. Ce que vous trouverez ici, c’est une collection de guides, d’analyses et de témoignages réels sur comment les gens naviguent dans ce système interdit — et ce que cela coûte vraiment.

Malgré une interdiction totale des cryptomonnaies, plus de 600 000 Bangladais utilisent Binance chaque jour. Ce phénomène révèle un fossé entre la loi et la réalité économique, où les citoyens privilégient des solutions rapides et économiques au système bancaire archaïque.