Banque d'Algérie et crypto : ce qu'il faut vraiment savoir en 2025
La banque d'Algérie, l'autorité monétaire nationale qui contrôle la monnaie et les flux financiers en Algérie. Also known as Banque centrale d'Algérie, elle a interdit toute utilisation des cryptomonnaies depuis 2018, les qualifiant de risque pour la stabilité financière. Mais derrière cette interdiction officielle, des millions d'Algériens utilisent des crypto pour envoyer de l'argent à l'étranger, acheter des biens importés, ou simplement protéger leur épargne contre l'inflation. C'est un paradoxe : une loi stricte, et une pratique massive.
Le régulation crypto Afrique, le cadre légal que les pays africains adoptent pour encadrer ou interdire les actifs numériques en Algérie est l’un des plus fermés du continent. Contrairement au Nigeria, où les banques ont levé certaines restrictions, ou au Sénégal, où les plateformes P2P fleurissent, l’Algérie refuse toute forme de reconnaissance. Même les échanges décentralisés comme Uniswap ou PancakeSwap sont techniquement illégaux. Pourtant, les Algériens trouvent des moyens : des applications de messagerie, des comptes bancaires à l’étranger, ou des plateformes P2P comme Binance P2P, où les nairas sont échangés contre du Bitcoin ou de l’Ethereum. Ce n’est pas du hacking, c’est de la survie économique.
Le interdiction crypto Algérie, l’effet concret de la politique de la banque d'Algérie sur les citoyens et les entreprises ne touche pas que les particuliers. Les PME qui veulent importer des services numériques ou payer des développeurs à l’étranger se retrouvent bloquées. Les travailleurs indépendants qui reçoivent des paiements en crypto ne peuvent pas les convertir légalement en dinars. Et les mineurs ? Ils sont pratiquement inexistants — pas à cause du manque d’intérêt, mais à cause du manque d’électricité et du risque de poursuites. Ce n’est pas une question de technologie, c’est une question de pouvoir. La banque d'Algérie veut contrôler chaque dinar qui circule. Les cryptos, elles, ne se laissent pas contrôler.
En 2025, cette tension ne faiblit pas. Les autorités bloquent des sites, ferment des comptes, et menacent d’emprisonnement. Mais les transactions continuent. Les jeunes Algériens apprennent à utiliser des wallets non-custodiaux, à transférer des tokens via Telegram, à négocier des prix en BTC pour éviter les commissions bancaires. Ce n’est pas une révolution. C’est une adaptation. Et c’est ce que vous trouverez dans les articles ci-dessous : des guides concrets sur comment naviguer dans ce système interdit, des analyses de plateformes utilisées en Algérie, et des alertes sur les arnaques qui prospèrent dans l’ombre de cette interdiction. Vous ne trouverez pas de loi qui change. Mais vous trouverez des moyens de survivre.
Publié le juil. 3
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L'Algérie a interdit complètement les crypto-monnaies en juillet 2025, avec des peines de prison et d'amendes lourdes. Toute activité liée aux actifs numériques est désormais criminelle, même la simple possession ou la promotion en ligne.