Taxe de sortie crypto : ce que vous devez savoir en 2025

Quand vous vendez, échangez ou dépensez vos cryptomonnaies, des actifs numériques soumis à une fiscalité spécifique selon le pays où vous résidez. Also known as taxe sur la réalisation de gains, it est souvent appelée taxe de sortie crypto parce qu’elle se déclenche dès que vous sortez vos actifs du mode de détention passive. Ce n’est pas une taxe sur la simple possession — c’est une taxe sur l’action. Si vous achetez du Bitcoin et que vous le gardez dans votre portefeuille, rien ne se passe. Mais si vous le vendez contre des euros, vous échangez contre un autre token, ou vous l’utilisez pour payer un service, là, c’est un événement taxable.

Le problème, c’est que chaque pays réagit différemment. En France, la taxe de sortie crypto est traitée comme un gain en capital, un profit réalisé sur la vente d’un actif. Vous payez 30 % (12,8 % d’impôt sur le revenu + 17,2 % de prélèvements sociaux) sur la différence entre ce que vous avez payé et ce que vous avez reçu. Mais en Portugal, vous n’avez rien à payer si vous détenez plus d’un an. En Inde, c’est 1 % de retenue à la source sur chaque transaction, même si vous perdez de l’argent. Et en Algérie, tout cela est interdit — même parler de crypto peut vous mener en prison. La déclaration crypto, l’obligation légale de déclarer vos mouvements d’actifs numériques à l’administration fiscale, n’est pas une option : c’est une exigence dans la plupart des pays européens et dans d’autres comme les États-Unis avec le FBAR.

Beaucoup pensent que si leur transaction est petite, ils n’ont rien à déclarer. Faux. Même un échange de 50 € de Ethereum contre du Solana est une sortie taxable. Et si vous utilisez un DEX comme Uniswap ou PartySwap, ça ne change rien : le logiciel ne vous demande pas de remplir un formulaire, mais l’État, lui, le sait. Les échanges vérifiés comme Coinbase ou Blocktrade transmettent vos données aux autorités. Même les plateformes non régulées laissent des traces. La fiscalité crypto, l’ensemble des règles fiscales qui s’appliquent aux actifs numériques ne se base pas sur la transparence de la blockchain — elle se base sur vos déclarations. Et les audits se multiplient.

Vous n’êtes pas obligé de devenir expert en comptabilité. Mais vous devez comprendre deux choses : quand vous êtes concerné, et ce que vous devez conserver. Gardez vos reçus d’achat, vos historiques de transactions, et notez la valeur en euros au moment de chaque sortie. Si vous ne le faites pas, vous risquez une amende, une reconstitution fiscale, ou pire : un contrôle qui remonte à 10 ans. Ce que vous allez trouver ici, c’est une collection d’articles concrets : des cas réels, des analyses de pays, des pièges à éviter, et des solutions simples. Pas de théorie abstraite. Juste ce qu’il faut savoir pour ne pas payer plus que nécessaire — ou pire, se retrouver en infraction.

La taxe de sortie sur les crypto pour les expatriés américains en 2025 peut réclamer des millions de dollars sur des gains non réalisés. Comprendre les seuils, la base de coût et les obligations de déclaration est essentiel pour éviter des conséquences fiscales catastrophiques.