Native Assets : Ce qu'il faut savoir sur les actifs natifs dans la blockchain

Quand on parle de native assets, des actifs intégrés directement dans la structure d’une blockchain, comme le BTC sur Bitcoin ou le SOL sur Solana. Ils ne sont pas construits dessus — ils sont la blockchain. Ce n’est pas comme les tokens ERC-20 sur Ethereum, qui dépendent d’un contrat intelligent pour exister. Les native assets, des actifs intégrés directement dans la structure d’une blockchain, comme le BTC sur Bitcoin ou le SOL sur Solana, fonctionnent au niveau du protocole. Ils sont gérés par le nœud lui-même, pas par un code externe. C’est pourquoi ils sont plus rapides, plus sécurisés, et souvent moins chers à transférer.

Les smart contracts, des programmes autonomes qui s’exécutent sur une blockchain ne sont pas nécessaires pour eux. C’est une différence fondamentale. Sur Bitcoin, chaque transaction de BTC est validée par le réseau sans besoin de contrat. Sur Solana, les SOL sont utilisés pour payer les frais de transaction, et c’est tout. Pas de pont, pas d’intermédiaire, pas de risque de bug dans un contrat. Ce qui rend les native assets idéaux pour les transferts de valeur de base. Mais attention : ils ne servent pas à tout. Ils ne permettent pas de créer des DEX, des prêts ou des jeux comme le font les tokens sur Ethereum. Pour ça, il faut des protocoles plus complexes — et souvent, des tokens non natifs.

Les cryptomonnaies, des actifs numériques basés sur la blockchain comme Bitcoin, Solana, Cardano ou Avalanche sont les meilleurs exemples de native assets. Chaque fois que vous envoyez du BTC, vous utilisez l’actif natif. Même chose avec le ADA sur Cardano ou l’AVAX sur Avalanche. Ces actifs ne sont pas des "tokens" dans le sens traditionnel. Ce sont les pièces de monnaie du réseau. Et c’est pour ça que les plateformes comme Blocktrade ou Solflare les utilisent en priorité : elles sont fiables, transparentes, et ne dépendent d’aucun autre système.

Vous allez voir dans les articles suivants comment ces actifs natifs influencent les échanges décentralisés, les restrictions légales dans certains pays comme le Nigeria ou l’Algérie, et pourquoi des plateformes comme RCP Swap ou PartySwap ont du mal à les utiliser efficacement. Vous découvrirez aussi pourquoi certains projets tentent de créer des "versions natives" de tokens ERC-20, et pourquoi ça ne marche pas toujours. Ce n’est pas juste une question de technologie — c’est aussi une question de confiance, de vitesse, et de coût. Et dans la blockchain, ces trois choses font toute la différence.

Découvrez la différence entre les actifs natifs et les wrapped assets sur la blockchain : sécurité, liquidité, risques et utilité pratique dans le DeFi. Comprenez pourquoi WBTC domine le marché et quelles sont les vraies menaces derrière cette technologie.