Les forks les plus significatifs de l'histoire de la blockchain

Publié le oct. 25

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Les forks les plus significatifs de l'histoire de la blockchain

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Qu’est-ce qu’un fork blockchain ?

Un fork blockchain, c’est quand un réseau de crypto-monnaie se divise en deux versions différentes. Ça arrive quand les développeurs changent les règles du protocole. Si les changements sont compatibles avec l’ancienne version, c’est un soft fork. Si non, c’est un hard fork - et là, ça crée une nouvelle crypto. Ce n’est pas juste une mise à jour technique. C’est un vote de la communauté. Et parfois, ça devient une guerre d’idées.

SegWit : la réforme silencieuse de Bitcoin

En août 2017, Bitcoin a subi son premier fork majeur : SegWit. Pas un hard fork qui a créé une nouvelle monnaie, mais un soft fork qui a changé la façon dont les transactions sont stockées. Avant SegWit, les signatures (qui prouvent que vous êtes bien vous) prenaient 65 % de la taille d’une transaction. C’était un gaspillage. SegWit a séparé ces signatures du bloc principal, libérant de l’espace. Résultat ? Le réseau pouvait traiter 1,7 fois plus de transactions sans augmenter la taille des blocs. Les frais sont tombés de 5,32 $ à 1,87 $ en quelques mois. Mais ce n’était pas populaire chez tout le monde. Certains, comme le développeur Jimmy Song, disaient que ça n’attaquait pas le vrai problème : la taille des blocs. C’est ce qui a poussé d’autres à créer Bitcoin Cash.

Bitcoin Cash : le grand split de 2017

Le 1er août 2017, à bloc 478 558, Bitcoin s’est scindé. Bitcoin Cash (BCH) est né, avec un bloc de 8 Mo au lieu de 1 Mo. L’idée ? Plus de transactions par seconde, moins de frais, plus de liberté. Roger Ver et Jihan Wu, deux figures influentes, ont poussé ce changement. Au lancement, BCH a capté 28 % de la puissance de minage de Bitcoin. Son prix a grimpé en flèche. En décembre 2017, sa capitalisation a atteint 48,7 milliards de dollars - il était le 4e plus grand crypto au monde. Mais la croissance n’a pas duré. La communauté s’est divisée, les développeurs ont quitté le projet, et aujourd’hui, BCH vaut environ 4,2 milliards de dollars. Il est encore actif, mais loin derrière Bitcoin. Ce fork a montré que les hard forks peuvent créer des monnaies viables… mais que le marché décide seul qui survit.

Un hacker vole des ETH, une main sauve les fonds pour créer Ethereum, tandis qu'Ethereum Classic s'efface en arrière-plan.

Bitcoin Gold et Bitcoin SV : les forks qui n’ont pas survécu

En octobre 2017, Bitcoin Gold (BTG) est apparu. Son but ? Rendre le minage plus démocratique. Bitcoin utilisait des ASICs, des machines coûteuses et spécialisées. BTG a changé l’algorithme de preuve de travail pour qu’on puisse miner avec une simple carte graphique. Mais ça n’a pas marché. Les ASICs sont restés dominants, et BTG a perdu de la valeur. En novembre 2018, un autre fork de Bitcoin Cash a vu le jour : Bitcoin SV (BSV). Porté par Craig Wright, qui prétend être Satoshi Nakamoto, BSV voulait revenir à la vision originale de Bitcoin avec des blocs gigantesques - jusqu’à 128 Mo. Il a même fait un autre fork en 2020 pour créer eCash (XEC), avec un ratio de 1 million pour 1. Mais la communauté a rejeté BSV. Aujourd’hui, ni BTG ni BSV ne figurent parmi les 50 premières crypto-monnaies. Ce sont des exemples de forks nés d’une idéologie, pas d’un besoin technique réel.

Le fork DAO : quand Ethereum a choisi de réécrire l’histoire

En juin 2016, un hacker a volé 3,6 millions d’ETH (50 millions de dollars à l’époque) dans un contrat intelligent appelé The DAO. La communauté d’Ethereum était en choc. Le code était immuable, disaient certains. Mais d’autres disaient : « On ne laisse pas les gens perdre leur argent. » Le 20 juillet 2016, Ethereum a effectué un hard fork à bloc 1 920 000. Les fonds volés ont été récupérés et rendus aux propriétaires. Mais une partie de la communauté a refusé ce changement. Ils ont continué sur la chaîne originale : Ethereum Classic (ETC). Aujourd’hui, ETC a une capitalisation de 1,2 milliard de dollars. C’est le seul fork de Bitcoin ou Ethereum qui a survécu comme une alternative sérieuse. Ce fork a marqué un tournant : la blockchain n’est pas sacrée. Si la communauté le décide, elle peut réécrire l’histoire.

Ethereum : les forks qui ont transformé la blockchain

Après le DAO, Ethereum n’a pas arrêté de se réinventer. Tangerine Whistle (2016) a corrigé des failles de sécurité. Spurious Dragon a ajouté des protections contre les attaques de rejeu. Byzantium et Constantinople ont préparé le terrain pour la transition vers la preuve d’enjeu. Mais le plus grand changement est venu avec le Merge, en septembre 2022. Ethereum a abandonné la preuve de travail - ce qui consommait autant d’énergie qu’un pays comme les Pays-Bas - pour passer à la preuve d’enjeu. La consommation d’énergie a chuté de 99,95 %. Ce n’était pas un simple fork. C’était une révolution technique. Et elle a réussi, avec 99,98 % de nodes mis à jour. Aujourd’hui, Ethereum est plus rapide, plus propre, et plus scalable. Le Merge a prouvé que les forks peuvent être des améliorations planifiées, pas seulement des conflits.

Un mineur énergivore se transforme en arbre de staking éco-responsable, symbole du Merge d'Ethereum, style Memphis géométrique.

Les leçons des forks : ce qui marche et ce qui ne marche pas

Les forks qui ont duré ont une chose en commun : ils ont résolu un vrai problème technique, pas une dispute idéologique. Litecoin, créé en 2011, a changé la vitesse des blocs et l’algorithme de minage. Il est encore dans le top 20. Bitcoin Cash a essayé de résoudre la scalabilité. Il est encore là, mais en déclin. Les forks comme BTG et BSV n’ont rien apporté de nouveau - juste des promesses. Les études montrent que 68 % des forks Bitcoin disparaissent en moins de 18 mois. Et les forks créent de la volatilité : les prix flambent ou s’effondrent de 15 % dans les 30 jours qui suivent. Mais ils peuvent aussi être une opportunité. Des utilisateurs ont gagné des milliers de dollars en récupérant les nouvelles crypto après un fork. Il faut juste faire attention aux attaques de rejeu - où une transaction sur une chaîne est répétée sur l’autre. Beaucoup ont perdu de l’argent en 2017 parce qu’ils n’ont pas séparé leurs portefeuilles.

Le futur des forks : coopération, pas conflit

Aujourd’hui, les forks ne sont plus seulement des scissions. Ils deviennent des mises à jour planifiées. Le Shanghai Upgrade d’Ethereum en avril 2023 a permis de retirer les ETH mis en staking - une fonctionnalité attendue depuis des années. Et Bitcoin a adopté Taproot en 2021, un soft fork qui a amélioré la confidentialité et l’efficacité sans créer de nouvelle monnaie. Les analystes prédisent que les futures évolutions se feront via des protocoles interchaînes, pas des divisions. Les forks ne seront plus des guerres. Ils seront des outils pour connecter les réseaux. Le risque ? Même les mises à jour planifiées peuvent échouer. Le Shanghai Upgrade a dû être retardé de 24 heures à cause d’un bug logiciel. Les forks sont devenus plus sophistiqués… mais pas plus sûrs.

Les forks en bref : ce qu’il faut retenir

  • SegWit a amélioré Bitcoin sans créer de nouvelle crypto - et a réduit les frais.
  • Bitcoin Cash a été le plus grand hard fork de l’histoire, mais son influence diminue.
  • Ethereum Classic est la seule chaîne issue d’un fork qui a survécu comme alternative sérieuse.
  • Le Merge a transformé Ethereum en un réseau plus propre et plus efficace.
  • Les forks créent des opportunités… mais aussi des pièges pour les néophytes.
  • Les futurs forks seront des mises à jour, pas des révolutions.

Quelle est la différence entre un soft fork et un hard fork ?

Un soft fork est une mise à jour rétrocompatible : les anciens nœuds peuvent toujours fonctionner avec les nouveaux blocs. C’est comme une mise à jour logicielle. Un hard fork, lui, crée une nouvelle chaîne. Les anciens nœuds ne reconnaissent plus les nouveaux blocs. Cela divise la communauté en deux réseaux distincts - et souvent, en deux crypto-monnaies différentes.

Pourquoi Bitcoin Cash existe-t-il encore ?

Bitcoin Cash existe parce qu’il répond à un besoin : des transactions rapides et peu chères. Il a gardé une communauté active, des échanges, et des services de paiement. Même si sa capitalisation a chuté, il est encore utilisé dans certains pays comme le Salvador, où les frais de Bitcoin sont trop élevés. Il n’est pas le plus grand, mais il est toujours utile.

Est-ce que je peux gagner de l’argent en récupérant des forks ?

Oui, mais c’est risqué. Si vous aviez 1 BTC sur un portefeuille que vous contrôlez en août 2017, vous avez reçu 1 BCH. En octobre 2017, vous avez reçu 1 BTG. En novembre 2018, 1 BSV. Et en 2020, 1 000 000 XEC. Certains ont gagné des milliers de dollars. Mais il faut bien séparer vos clés privées pour éviter les attaques de rejeu. Et beaucoup de ces crypto-monnaies ont perdu de la valeur. Ce n’est pas un enrichissement garanti - c’est un pari.

Pourquoi Ethereum Classic est-il toujours là ?

Parce qu’une partie de la communauté croit fermement que la blockchain doit être immuable - même si quelqu’un vole des fonds. Ethereum Classic représente cette philosophie. Il a un réseau de mineurs, des développeurs, et des entreprises qui l’utilisent pour des contrats intelligents simples. Son bloc de 12 secondes est plus stable que celui d’Ethereum après le Merge. Ce n’est pas le plus populaire, mais il est fiable pour certains usages.

Les forks sont-ils dangereux pour la sécurité des crypto-monnaies ?

Oui, et non. Un fork mal géré peut créer des vulnérabilités - comme les attaques de rejeu ou les bugs logiciels. Le Shanghai Upgrade a failli échouer à cause d’un conflit entre clients. Mais les forks bien planifiés, comme SegWit ou Taproot, renforcent la sécurité. Le danger n’est pas le fork en soi, mais la pression politique et technique qui l’accompagne. Une communauté divisée est plus vulnérable aux attaques.

20 Comments

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    Filide Fan

    novembre 3, 2025 AT 00:47
    C’est fou comment un simple changement de code peut diviser une communauté… Mais bon, au moins on a appris à ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier. J’ai récupéré du BCH en 2017 et j’ai juste laissé traîner. Aujourd’hui, je me dis que j’aurais dû vendre avant Noël… 😅
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    Mariana Suter

    novembre 4, 2025 AT 09:00
    Le Merge d’Ethereum… là, c’est de l’art. J’ai suivi chaque étape, chaque testnet, chaque bogue. Et quand ça a marché ? J’ai pleuré. Pas de gaspillage énergétique, pas de hype, juste une technologie qui s’améliore. C’est ça, l’avenir.
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    Jeroen Vantorre

    novembre 5, 2025 AT 07:24
    Les Français pensent que la blockchain est un jeu de mots, pas une technologie. On a eu SegWit, on a eu le Merge, et vous, vous parlez de Bitcoin Cash comme si c’était la révolution. Non. C’est du bruit. Et les ASICs ? Toujours là. Toujours. Et vous, vous croyez que miner avec une GTX 1060, c’est démocratique ? C’est du théâtre.
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    Veerle Lindelauf

    novembre 7, 2025 AT 03:44
    Je me souviens quand j’ai essayé de récupérer mes BTG… j’ai tout cassé avec mon portefeuille. J’ai perdu 0,3 BTC à cause d’une erreur de rejeu. Depuis, je garde mes clés séparées, j’utilise Ledger, et je ne touche plus aux forks. C’est plus sûr. Et moins stressant.
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    Jeanette van Rijen

    novembre 9, 2025 AT 02:17
    La notion d’immuabilité est fondamentale dans la philosophie blockchain. L’intervention humaine, même bien intentionnée, comme lors du fork DAO, érode la confiance dans les contrats intelligents. Une fois que l’on commence à réécrire l’histoire, on ouvre la porte à la censure. Ethereum Classic n’est pas un échec. C’est un principe.
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    prima ben

    novembre 10, 2025 AT 22:46
    Tu sais ce qui est drôle ? Les gens qui disent que BSV c’est la vraie vision de Satoshi… Et puis ils veulent des blocs de 128 Mo pour que leur app de chat crypto marche. Tu crois que Satoshi voulait que ses transactions soient dans un bloc de 128 Mo ? Non. Il voulait que ça marche. Pas qu’on en fasse un show télé.
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    La T'Ash Art

    novembre 10, 2025 AT 23:26
    Les forks sont des mises à jour technologiques et non des guerres idéologiques. Le fait que Bitcoin Cash existe encore ne prouve pas sa supériorité mais la persistance d’un groupe de personnes qui préfèrent une approche différente. Ce n’est pas un échec. C’est une diversité.
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    Emeline R

    novembre 12, 2025 AT 12:29
    Je suis restée à Bitcoin parce que j’ai vu trop de gens perdre des sous en cherchant des forks gratuits… et puis un jour, j’ai reçu 0,0001 ETH sur une ancienne adresse et j’ai cru que c’était un bug… mais non, c’était un airdrop de la mise à jour de Shanghai. J’ai pleuré. J’ai cru que la technologie m’aimait…
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    Ronan Hello

    novembre 14, 2025 AT 08:22
    Les gens qui disent que le Merge c’était une révolution… ils ont oublié que la plupart des mineurs ont juste vendu leurs ASICs et sont partis faire du cannabis en Thaïlande. Le vrai changement ? La spéculation a juste changé de nom. Maintenant, on spéculera sur les taux de staking. Et les mineurs ? Ils sont morts. Longue vie à la centralisation.
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    Océane Darah

    novembre 16, 2025 AT 03:33
    Personne ne parle du vrai problème : pourquoi on a besoin de 10 000 crypto-monnaies ? On n’a pas besoin de plus de monnaies. On a besoin de moins. Et de moins de forks. Le Bitcoin original, c’était suffisant. Tout le reste, c’est du bruit pour attirer les naïfs.
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    Emilie Hycinth

    novembre 17, 2025 AT 11:47
    Je suis une femme intelligente. Je ne comprends pas la blockchain. Mais je sais que les gens qui parlent de « proof of stake » et de « soft forks » sont des gens qui veulent que je croie qu’ils sont plus intelligents que moi. Et je ne vais pas leur donner cette satisfaction.
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    Blanche Dumass

    novembre 17, 2025 AT 12:53
    Quand on parle de forks, on parle de liberté. Liberté de choisir. Liberté de croire. Liberté de miner avec une carte graphique ou avec un ASIC. Le vrai problème, ce n’est pas la technologie. C’est la peur. La peur de l’autre version. La peur de ne pas être le seul à avoir raison.
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    Philippe Foubert

    novembre 18, 2025 AT 08:21
    SegWit c’était la seule chose intelligente que Bitcoin ait faite depuis 2010. Mais les gros acteurs ont tout saboté pour faire du BCH. Moi, j’ai gardé mes BTC, j’ai mis mes BCH dans un tiroir, et j’ai attendu. Aujourd’hui, je les ai tous vendus. Mais j’ai appris une chose : les forks, c’est comme les ex. Tu les reçois, tu les gardes, et puis tu réalises qu’ils ne t’apportent rien.
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    Genevieve Dagenais

    novembre 20, 2025 AT 05:06
    L’idée que la communauté puisse réécrire l’histoire via un hard fork est une aberration morale. Cela détruit la notion de contrat social. Ethereum Classic n’est pas une « alternative ». C’est une leçon. Une leçon que les technocrates occidentaux ont choisi d’ignorer. La blockchain ne doit pas être un outil de réparation humaine. Elle doit être une loi divine. Et la loi divine ne s’annule pas.
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    Carmen Wong Fisch

    novembre 22, 2025 AT 00:44
    Je suis passée à côté du fork BCH parce que j’étais en vacances à Genève. J’ai cru que c’était une arnaque. J’ai regardé les graphiques un an après. J’ai eu envie de sauter par la fenêtre. Je ne suis pas une experte. Mais je sais que j’ai raté quelque chose. Et ça me rend triste.
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    Stéphane Couture

    novembre 22, 2025 AT 07:24
    Les forks sont des pièges. Tous. Le DAO ? Une escroquerie. Le Merge ? Une manipulation des investisseurs. Les gens croient qu’ils gagnent en récupérant des crypto-forks… mais en réalité, ils finissent par financer des équipes qui les ont bernés. Regardez BSV. Qui a gagné ? Pas vous. Pas moi. Les créateurs.
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    James Coneron

    novembre 22, 2025 AT 19:09
    Tu sais ce qui est vraiment fou ? Les forks ne sont pas des événements techniques. Ils sont des événements de contrôle. Qui décide de ce qui est « légitime » ? Les développeurs ? Les mineurs ? Les gros porteurs ? Et si je te disais que tout ça est orchestré par les banques centrales pour créer des monnaies numériques de banque centrale ? Le Merge ? Un prétexte. Le Bitcoin Cash ? Une distraction. Les forks sont des opérations de désinformation. Tu as vu combien de fois les mêmes noms reviennent ? Jihan Wu. Roger Ver. Craig Wright. Tous liés à des fonds offshore. Et toi, tu crois que c’est de la technologie ? Non. C’est du pouvoir.
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    Anne Sasso

    novembre 24, 2025 AT 05:03
    Les forks sont des mécanismes de consensus. Ils reflètent la volonté collective d’adopter un nouveau protocole. Le fait qu’un fork survive ou non dépend de son adhésion technique et économique. Il ne s’agit pas de philosophie. Il s’agit d’efficacité. SegWit a été adopté parce qu’il résolvait un problème réel. Bitcoin Cash a été adopté parce qu’il répondait à un besoin de scalabilité. Les autres ? Des expériences.
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    Nadine Jansen

    novembre 25, 2025 AT 09:49
    J’ai appris à ne jamais toucher aux forks sans vérifier les sources. J’ai perdu 100 euros en 2017 parce que j’ai cru un article de Medium. Depuis, je lis les whitepapers, je regarde les commits sur GitHub, et je n’accepte que les forks qui ont été testés sur plusieurs testnets. La prudence, c’est la seule monnaie qui ne perd pas de valeur.
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    Julie Collins

    novembre 26, 2025 AT 17:57
    C’est comme si la blockchain était un arbre. Les branches, c’est les forks. Certaines poussent, d’autres meurent. Mais l’arbre, lui, continue de grandir. Le Merge ? Une nouvelle feuille. Bitcoin Cash ? Une branche un peu tordue, mais encore vivante. Et moi ? Je suis juste là, à regarder les feuilles tomber… et à me demander si l’arbre va survivre à l’hiver.

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